| juin 28, 2007 |
| Le Prince Moulay Rachid va se marier avec une Bloggeuse |
La famille royale s’enorgueillerait d’une nouvelle ‘‘recrue’’ pour Moulay Rachid. On dit de lui qu’il est chouette malgré sa discrétion et son allure crispée. Il a l’habitude de rencontrer des jeunes femmes instruites et issues de milieux modestes et depuis qu’on l’a croisé avec l’éventuelle élue dont il s’agit, leur union officielle (et probablement publique) serait envisageable.
Lauréate de l’ISIC, elle a préféré travailler à la MAP plutôt qu’au bureau d’Al Jazeera - Rabat - Elle s’appelle Kawtar.K et son Blog a bizarrement disparu depuis quelques jours ! Certains ISICiens ou amies de Kawtar ont adopté un curieux mutisme, pendant que d’autres ont confirmé la relation de leur collègue avec Moulay Rachid.
Source
Personnellement, et après une petite investigation, je pense que l’hypothèse est plausible, que le scénario se tient debout et que le moment n’est pas si fortuit.
Info ou Intox ! A Suivre… |
posted by O.B @ 6:24 PM   |
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| juin 25, 2007 |
| Foutaises - J'ai vomi dans mes corn-flakes |
It is la première fois que je peau-de-caste (c’est comme çà qu’on dit ?!) une vidéo et çà ne sera pas the last. D’ailleurs, il s’agit de deux passionnantes aquarelles (N&B) et pas n’importe lesquelles. A Voir Absolument ! ‘‘J’ai vomi dans mes corn-flakes’’ une petite perle qui dessine l’enchaînement logique et l’alternance saugrenue de nos vies. Et ‘‘Foutaises’’ (1989) de Jean-Pierre Jeunet à qui on doit le joli et fabuleux destin d’Amélie Poulain. A travers ces prémices, le réalisateur Français nous implique dans son ‘‘J’aime / J’aime pas’’ avec un humour recherché et une obsession pour le détail.
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| posted by O.B @ 4:30 PM |
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| juin 23, 2007 |
| à l'eau, çà sonne |
Moi : Oui
Elle : Allo ! Bonsoir
Moi : Bonsoir
Elle : c’est bien Monsieur O.B !
Moi : ce n’est pas un scoop. Mais vous êtes bien renseignées
Elle : Je suis impressionnée
Moi : […]
Elle : t’as une belle voix, tu sais ?
Moi : Non, d’habitude, on m’adresse cette phrase autrement
Elle : Je suis sincère !
Moi : tu railles ? Heureusement que je t’ai épargné ma boite vocale
Elle : alors tu fais quoi ?
Moi : çà dépend… je fais l’amour, je fais la cuisine…
Elle : (rires) Intéressant Mmm j’veux dire; qu’est-ce que t’es entrain de faire ?
Moi : Je lis des pages…
Elle : je m’attendais à ce que tu demandes après moi !
Moi : Ce chapitre s’intitule ‘‘T’es plus intéressant quand tu te tais !’’
Elle : Passionnant
Moi : […]
Elle : Dis moi
Moi : Moi
Elle : Arrête de me faire çà !
Moi : t’as besoin de quoi ?
Elle : en fait je me demandais si…
Moi : que veut dire - Faquin - ?
Elle : comment ! fuck qui ?
Moi : Mouais
Elle : Dis t’as vu l’affaire Joseph Lubsky et Patrick Sébastien ?
Moi : Je trouve pas mal. J’ai fait ce truc avant lui !
Elle : Ah bon !
Moi : çà veut dire quoi - remugle - ?
Elle : Je vois que t’es concentré avec tes pages !
Moi : Non, je t’écoute
Elle : Tu imagines pourquoi j’t’appelle
Moi : t’es sûre que c’est pas un faux numéro ?
Elle : Cette fois, j’ai envie que çà soit aérien !
Moi : Je sais pas, çà fait un moment que j’ai arrêté de piloter
Elle : Demain soir, chez moi. Çà te va ?
Moi : Que signifie - Macadamiser - ?
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| posted by O.B @ 7:29 PM |
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| juin 19, 2007 |
| L’ivre révèle ses livres |
Après l’invitation de la captivante Couscous Poulette Et de la charmantissime Sana. J’accepte de participer au jeu des 4 l'ivres dit le questionnaire de Procuste, qui consiste tout simplement à répondre à chaque caté-gorille par les quatre odes littéraires de notre choix.
-Les quatre livres de mon enfance:
Les aventures de Jooha : j’en raffolait. Ce n’est que plus tard que j’ai réalisé que c’était çà la finesse… Je me souviens par exemple quand il comptait les ânes en oubliant celui sur lequel il était ou encore l’épisode du son des sous et celui du mendiant et les étages. J’achetais Jooha de la Joutia à 3 Dhs / l’épisode et je les échangeais à un dirham et j’étais trop déçu après avoir lu toute la série ou la saison parce que je n’avais pas de nouvelle à mettre sous la dent.
Mille et une nuits : ambiance arabesque et prénoms rigolos.
Ali Baba et les 40 voleurs
Pif et Hercule dans la veine de Felix le chat… j’appréciais le côté la gaffe de Hercule et la kaâboulattitude de Pif sans oublier les gadgets.
Ainsi que quelques Hugo’s imposés par les écoles primaires.
Il y'avait également une fabuleuse Collection de fables qui m’a été offerte à l'occasion d'un faux jour d’anniversaire (je me comprend).
-Les 4 auteurs que je lirai et relirai encore :
Stephen King. Il y’a deux ans, sur une chronique de 3 pages, on m’a dit que c’est pas loin des éclaboussures stylistiques et situationnelles de S.K ! Et j’ai pas encore vérifié.
Driss Chraîbi. Ce mec est un magicien.
Soumaya Naamane Guessous. J’aimerais la découvrir par curiosité même si c’est trop cliché.
Simone de Beauvoir
Albert Camus. Il est fort et j’aime bien son nom :p
Charles Baudelaire. No Comment No Comment !
-Les 4 auteurs que je ne lirai probablement plus jamais:
Abdellah Taîa. C’est mignon ce que tu fais, continue à le faire. Mais t’es pas mon style !
Marc Levy. Tellement il m’a transporté et renversé avec ‘‘Et si c’était vrai’’ que je lui pardonne pas sa naïveté en vendant les droits d’adaptation à Spielberg pour le film du même nom. Spielberg qui ne s’aventure même pas à mettre son nom dans ladite adaptation ; le succès était assuré autant faire dans le facile. J’ai rencontré Marc Levy à 2 reprises à Casablanca et quand je lui ai demandé : ‘‘Que dites vous par rapport à la médiocrité de l’adaptation ciné de votre livre Et si c’était vrai ? Sachant que vous avez fait co-producteur du film’’. Il répond sans répondre en esquivant… ‘‘Vous savez co-producteur çà veut rien dire’’ Ouais c’est çà.
Ceci dit, je vous recommande le roman ‘‘Et si c’était vrai…’’
Paolo Coelho. Il écrit bien mais trop de fanfaronneries in & out.
Dan Brown. Que çà soit Anges et Démons ou Da Vinci Code… Trop commercial et la polémique c’est facile. J’aurais préféré Da Vinci Gode (Yalah).
-Les 4 premiers livres de ma liste à lire ou à relire:
Etre vivant – Henri Veyrier. Çà parle de neurologie, de spermatozoïdes et de suicide avec quelques citations savoureuses. En lisant cette chose ‘‘Space’’ j’étais devenu médecin malgré moi. C’était ma thérapie. Je le prêterai bien à qui le vaut bien !
Cette aveuglante absence de lumière – Tahar Benjelloun –
Pas seulement parce qu’il est apparemment mon oncle. Mais ce livre est vraiment une vitrine éclectique d’espoir et de désespoir pimenté de puanteur en plus d’être une leçon sur l’histoire du Maroc ! Je le ferai lire à mon fils.
The Godfather (le parrain) – Mario Puzo –
J’ai lu le I et le II en Anglais. Un vrai régal…
Les enfants Psy – Marie Pierre Raimbault –
Chroniques culturelles et psychologiques sur des enfants adultes malgré eux.
Les paradis Artificiels - Charles Baudelaire -
La différence a un nom ! À lire et à relire.
Le diable et le bon dieu – Jean Paul Sartre –
Ni paradis ni enfer ! C’était le voyage spirituel et philosophique de mon adolescence.
-Les 4 livres que je suis en train de lire :
Je viens de finir La civilisation, ma mère ! – Driss Chraïbi – et je commence Méfiez-vous des parachutistes - Fouad Laroui -
-Les 4 livres que j’emporterais sur une île déserte :
-Les Aventures Aliénées de Hamida Lamèche
-Les Œuvres de Baudelaire et ce qui va avec
-Gigolo ou Bikhèèr – Oussama Benjelloun –
-24 heures dans la peau d’une poupée gonflable – Hamida Mentoufa -
-Les premiers mots d’un de mes livres préférés:
Edgar Allan Poe – Le Chat Noir –
Relativement à la très-étrange et pourtant très familière histoire que je vais coucher par écrit, je n’attends ni ne sollicite la créance. Vraiment je serais fou de m’y attendre dans un cas où mes sens eux-mêmes rejettent leur propre témoignage. Cependant, je ne suis pas fou, et très certainement je ne rêve pas. Mais demain je meurs, et aujourd’hui je voudrais décharger mon âme. …
-Les derniers mots d’un de mes livres préférés:
Jean Paul Sartre – Le Diable et le Bon Dieu –
… Je ne flancherai pas. Je leur ferai horreur puisque je n’ai pas d’autre manière de les aimer, je leur donnerai des ordres, puisque je n’ai pas d’autre manière d’obéir, je resterai seul avec ce ciel vide au-dessus de ma tête, puisque je n’ai pas d’autre manière d’être avec tous. Il y’a cette guerre à faire et je la ferai.
Les 4 (plutôt 5) personnes que j’invite à répondre au questionnaire sont :
Imane (epicette)
Najlae
Othmane Boumaalif
Nadia Lamlili
Adam
Ainsi que tous les sympathiques visiteurs/commentateurs de ce Blog qui n’ont pas de Blog… que j’invite justement à citer leurs lectures par simple commentaire. |
| posted by O.B @ 1:24 AM |
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| juin 11, 2007 |
| O.B et H.M vus par les autres |
J’ai retrouvé ces deux documents dans les archives de mes documents. Et j’ai tout de suite eu l’envie de les partager… pour faire un peu de pub pour ma chronique Hamida introuvable dans la presse après la fin de ma collaboration il y’a un peu plus de 2 mois, en ce qui concerne le premier article (publié dans un magazine estudiantin).
Ensuite il s’agit d’une interview que j’ai faite avec La charmante journaliste, Farah Kinani (quand elle collaborait toujours avec Magharebia.com)
Oussama Benjelloun a réussi à entreprendre une carrière journalistique en parallèle avec sa dernière année d’études. Puisque depuis Septembre 2006, il s’est vu proposer d’écrire pour le magasine hebdomadaire CMV (Casamaville) qui publie sa chronique régulière ‘‘Hamida Lamèche By Night’’, où il décrit avec humeur et humour les vices de notre société avec un style léger et captivant. Le personnage se fait remarquer dans chaque article avec son caractère décoiffant et sa lecture décalée de l’actualité.
Echantillon :
« …Le réveillon fait le bonheur des commerçants, des maisons de crédits et des publicitaires; Hamida est ahurie de voir des affiches montrant qu’on peut gagner un mou-thon en s’abonnant à un opérateur téléphonique (le contraire est également valable) ou encore qu’on nous offre le pack lave-linge, cuisinière et réfrigérateur à des conditions tellement extraordinaires que notre décoiffée n’écarte pas la possibilité que l’hôtesse ‘‘colgatisée’’ et le ruban soient offerts aussi».
« …Habituée aux soirées Jet set et aux magazines ‘’Pipeau(l)’’, Paris Hilton aime à poser devant les flashs des “papa-rasés’’. Quand elle s’habille, elle porte 3 fois le PIB du Maroc. D’ailleurs, si vous la croisez, n’oubliez pas de la flasher à Derb Ghallef, histoire d’anticiper le libre-échange».
Vous pouvez retrouver ces écrits sur www.ublog.com/Hamidamentoufa ou chaque semaine dans les kiosques.
Après sa diplômation, Oussama Benjelloun ambitionne de travailler dans le monde de l’événementiel et poursuivre son aventure rédactionnelle puisqu’il projette d’écrire un recueil et un court métrage.
Par : Ghita Tenhim
F.K : Comment te définis tu en tant que jeune Marocain?
O.B : Sincèrement, je pense qu’être un jeune Marocain c’est une consécration en-soi. Surtout que çà permet de voir les choses autrement… avec un œil plus vigilant en évitant les erreurs commises par nos aînés. Je me définis en tant qu’humble citoyen en soif d’information et de connaissance pour mieux être productif pour mon pays et pour mon entourage.
Parle nous plus de ce que tu fais dans la vie?
Aujourd’hui je suis sollicité pour écrire des articles et couvrir des événements. Pour tout vous dire je ne me vois pas du tout en costard cravate travaillant 9 heures par jour avec ‘‘sériosité’’ derrière un bureau calme et suffoquant. Cela n’empêche que j’ai été pendant 2 ans chargé de clientèle francophone avec une grande structure.
36 pour cent des jeunes du Maroc rêvent d'immigrer, qu'en penses tu?
Je trouve ce pourcentage logique. Personnellement, tant qu’elle reste légale je n’ai rien contre l’immigration. Ce n’est pas mon travail de dire çà c’est bien et çà ce n’est pas bien. Je reconnais qu’en occident y’a plus d’opportunités mais cela ne veut en rien dire qu’on ne peut pas réussir en restant chez soi; je crois au génie Marocain. De nos jours, ce sont plutôt les occidentaux qui viennent investir et s’installer au Maroc; il suffit de regarder Marrakech ou Tanger…
Comment vois tu la jeunesse Marocaine?
Je rêve un jour de voir mon pays dirigé par des décideurs jeunes, imaginez un ministre qui aurait 27 ans, çà nous donnerait automatiquement envie de s’intéresser à la politique. Notre jeunesse Marocaine est bourrée de talents et de créativité, elle est loin d’être naïve au point de tolérer une société dépeinte d’imperfections. Les jeunes Marocains sont détachés (parfois un peu trop) des discours générationnels, il suffit de les écouter et les découvrir. |
| posted by O.B @ 4:21 PM |
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| juin 06, 2007 |
| T'es juste le scaphandre de mes fantasmes |
Il est minuit comme toutes les nuits mais je suis évanoui tel un râteau ouï ou un rat tout cuit. Haha Oui si seulement je puis. Mais Dandy Androgyne, je suis.
Il est minuit comme toutes les nuits mais je suis nu et désuni des tétons de mimi et de mon caleçon tout Sali.
La lune est timide et tes yeux m’intimident. Humide humeur d’une guide insolite ou hétéroclite clito en manque de météorites.
Rigolo est ton cœur tel un igloo vide. Tu es froide comme une lame fade et ta vie est plus livide que celle de la guide insipide.
Je me force je me force à te chérir quand tu fais vite. Pourtant, Chérie, t’es pas plus indispensable qu’une moutarde sur une frite et encore moins qu’un tampon d’une tranche de shit. Si c’est pour t’orner de sincères compliments ; Tu es JUSTE le scaphandre de mes fantasmes et le cendrier de mes lubies. Alors que Je suis l’enduit qui ‘‘nuit’’ à ta nuit… qui chasse ton ennui, lequel réjouit tant mes secrets puis m’inspire quelques fruits inouïs.
Ta forme géométrique la plus éclectique n’est pourtant pas ma tasse de thé. Je préfère de l’absinthe au quai et m’abstenir de te prendre pour une fée… Qui sait… Serait-il plus fécond Morphée !
Désolé, Il est minuit comme toutes les nuits, et comme d’habitude, je fais l’amour à mon lit. Ce n’est guère jubilatoire Mademoiselle Mort-Fée. Je suis peut-être sous mort fine mais je pense à TOI, foutredieu de fausse libertine.
Jouis le monde, je suis en toi. |
| posted by O.B @ 8:41 PM |
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| juin 01, 2007 |
| Je Blogue pour un Maghreb qui se chante |
Un article que j'avais écrit l'année dernière comme prélude:
Après leur passage à Meknès et Fès, c était au tour de la ville Blanche Jeudi 28 Juin dernier à 20h30 à l’école Molière.
Les fans et les curieux étaient au RDV pour vibrer aux rythmes des ‘’Gnaoua Diffusion’’.
Gnaoua Diffusion est un groupe franco-algérien aux musiques variées (reggae, rai, fusion, folk-rock..) fleuronnées de poésies charnelles et pamphlets engagés.
On dit qu il y a eu 1600 tickets vendus ..fort probable vu l’ambiance explosive sur place, une ambiance parfaitement canalisée par le chant du charismatique leader du groupe: amazigh kateb (fils du grand écrivain algérien yacine kateb).
Entre 2 chansons, amazigh n’hésite pas à dialoguer avec le public ..il dit que bouteflika est un petit président et rêve de voir un jour une femme présidente en Algérie.. sans oublier les paroles assez crues de ‘Ouvrez les stores’.
Les musiciens ont réussi à travers 2 heures de bonne humeur à communiquer un message de rébellion et de paix.
Petits et grands ont valsé chaabi et oriental répétant les paroles de "sabrina" "douga douga" ou encore "j’voudrais être". Avec des solos en option et des mawwals envoûtants en bonus.
Apres Essaouira 2003 et L’Boulevard 2004; Gnaoua Diffusion signe un magnifique retour sur la scène Marocaine; les artistes ont su marquer les esprits et les oreilles du public.
Pour la suite de leur tournée, ils s’envoleront pour jouer en France avant de réaliser ensuite un DVD de ces concerts, ‘‘Fucking Cowboys’’.
Oussama Benjelloun
Avons-nous au maroc un groupe aussi engagé que Gnawa Diff ? Sans réfléchir vous répondrez Non, mais souvenez-vous Nass El Ghiwane et la cultissime version de Lbtana... "achmen fark binek nta wnta wnta wana" saupoudrée d'un jeu de scène limite choquant, qui leur a valu une belle virée en estafette à l'époque.
On pourrait également citer le jeune Groupe Haoussa, qui n'a rien de jeune. Ce sont les Rage Against The Machine Marocain... Maintes fois ils se sont produits sur la scène du Boulevard chapeauté par les anges de la scène Underground, Hicham et Momo... qui ont, un jour, eu la très bonne idée d'inviter des groupes arabes et maghrébins. Je pense en effet à LITHAM, le groupe de Metal le plus illustré d'Algérie. Je me souviens de ce Samedi de 2004 où ils ont fait une forte impression. Des musiciens Algériens devant un public nu et fortement ému sans limites sans arrière-pensées sans langue de bois ni de bras de fer ni de JT déroutant ou de faux conflits...
çà me fait mal au coeur et aux oreilles quand j'entends un Tunisien conter sa vie. çà me fait putain mal aux yeux quand je vois un arabe pisser sur son frère arabe. çà me fait mal que les marocains se sentent plus proches de l'europe que des pays voisins (leur origine).
Je ne suis pas fan des Happy Endings et je ne joues pas au violon mais Je rêve un jour de voir le Maghreb UNI se lever d'un seul coup, les mains dans les mains, pour s'octroyer sa liberté d'expression, pour vivre en démocratie et finalement pour chanter ensemble une force reconnue avec une voix incassable.
Imagine |
| posted by O.B @ 2:43 PM |
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Name:O.B 