septembre 27, 2007 |
POISON |
Baise ma main, mon trou est libre. Tu pètes l’art de l’arbitraire et ta frite me donne l’urticaire. Mon cœur est un urinoir de bonhomie auréolé de vies et d’orgies. Je lézarde… Je suis ivre Désargenté comme un sapin nu et vulgaire comme un néologisme cru. Je milite, je milite… Ta chasteté sans cris ou mes guirlandes sur ta Grue. J’abandonne mes pétales, mes pédales et mon statut de ‘‘prédateur social’’ me délectant de ton agonie lépreuse mais florale. Hier encore, j’étais vierge de ton opulence, hier encore tu étais hermétique à mon cynisme grinçant ! Aujourd’hui pourtant ; je suis FoU… je suis futé grâce à vous. Tu batifoles tel un écumeux papillon qui ruisselle. Tu es élégamment tombée comme une plume des Twins. Ça me vexe… ça me ronge Caprice Malice Délice d’une prise fuselée en poussières d’étoiles. Ta chevelure soyeuse et lisse pleure… ça pleure la pluie de mon liquide acidulé. Pardon beauté, tu es si laide… je m’appelle Poison, alors Souris ! |
posted by O.B @ 5:06 PM   |
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